Co-organisé par Alya Aglan, Olivier Feiertag et Yannick Marec, les 29, 30 et 31 mars 2007, le colloque « Les Français et l’argent du XIXe siècle à nos jours » était le fruit d’un partenariat entre les universités de Rouen (où il se déroulait) et Paris X. Il partait d’une double volonté de la part de ses maîtres d’œuvre : ne pas laisser l’économie aux seuls économistes, ni l’argent aux seuls historiens de l’économie.
Le Comité d’histoire parlementaire et politique (CHPP) organisait, le jeudi 29 mars 2007, au Sénat, une journée d’étude consacrée aux campagnes électorales. Les historiens, politistes et responsables politiques rassemblés pour l’occasion ont balayé l’histoire puis l’actualité de cette question.
In her third movie, "Marie-Antoinette" Sofia Coppola continues her exploration of the condition of women. She praises femininity and places it at the heart of this condition. From the very beginning of the movie, it appears that this film maker has opted to portray a very feminine Marie-Antoinette, a young woman who has an inner beauty that is revealed by the emotions she shows and by her easy spontaneity and generosity.
C’est l’histoire d’une usine sur laquelle les dirigeants successifs, Fred Lip dans un premier temps puis Claude Neuschwander, voulaient marquer une empreinte modernisatrice. C’est l’histoire de travailleurs, la rencontre entre des « sages fous et des fous sages » comme dit Jean Raguénès, ouvrier par conviction militante, qui, traversés par une vision syndicaliste du rapport au patronat (on a pas besoin de patron, le patron a besoin de nous), ont en commun la volonté de sauvegarder leurs emplois et leurs salaires.
Depuis 2004, le Comité d’histoire parlementaire et politique (CHPP) organise au Sénat une journée d’études annuelle. L’édition 2007 qui s’est déroulée le vendredi 6 avril avait pour titre « L’Europe au Parlement de Victor Hugo à nos jours ».
Le musée du Jeu de Paume a accueilli du 16 janvier au 1er avril 2007 une exposition sur « L’Événement, les images comme acteurs de l’histoire ». L’entreprise, initiée par Régis Durand et dirigée par Michel Poivert associé à quatre commissaires (Clément Chéroux, Marie Chominot, Thierry Gervais, Godehard Janzing et, pour le catalogue, à Ulrich Keller et Pierre-Lin Renié) était de s’interroger sur ces faits devenus événements parce que produits d’une construction, et sur les modalités de cette mise en images. Il s’agissait de voir comment cette métamorphose obéit à un « processus complexe où l’intention des acteurs de l’histoire, les techniques de médiations, le contexte politique et enfin les attentes du public convergent pour donner son sens au moment historique ».
Diffusé sur Arte en octobre 2006 à l’occasion du 60ème anniversaire du procès de Nuremberg, le documentaire de Christian Delage, Le procès de Nuremberg, les Nazis face à leurs crimes, renouvelle notre vision de cet épisode de l’immédiat après-guerre.
Le 31 mars dernier, l’exposition « Trésors du quotidien ? Europe et Méditerranée » a ouvert ses portes au public, au Fort saint Jean à Marseille. Si le musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (MuCEM) n’en est pas à sa première exposition marseillaise, cette dernière a néanmoins un parfum particulier et une ambition spécifique, donner au public le « goût du MuCEM » tel qu’il ouvrira dans son extension totale à l’horizon 2011. Car c’est bien de préfiguration qu’il s’agit.
« Ce que nous ne pouvions transmettre par nos cris et nos hurlements, nous l’avons enterré… J’aimerais vivre pour voir le jour où cet immense trésor sera découvert et fera éclater la vérité à la face du monde. Ainsi le monde saura tout […]. Puisse ce trésor tomber entre de bonnes mains, puisse-t-il se conserver jusqu’à des jours meilleurs, pour alerter le monde de ce qui a été conçu et commis au 20ème siècle. »